Quelques témoignages
Ce qui a été le plus apprécié
« La détente »
« Dix ans que je pratique le Feldenkrais ! En plus du bien-être et de l'équilibre, j'ai à chaque cours le plaisir de la découverte. »
« La recherche d'appuis permettant de mieux utiliser ses ressources sans se crisper ni se fatiguer »
« La découverte de sensations corporelles nouvelles »
« Prendre son temps »
« Apprendre ce qui est confortable et ce qui ne l'est pas pour soi »
« Le climat de confiance et de sécurité intérieure »
Témoignages individuels :
"J’ai découvert la méthode Feldenkrais il y a de ça neuf mois et je suis heureuse de pouvoir témoigner des bienfaits qu’elle m’apporte. Ce qui me touche beaucoup, c’est que j’ai appris à lâcher les tensions dans mon corps avec bienveillance et douceur, et ressentir plus de légèreté dans la vie de tous les jours. La légèreté dans mon corps accompagne la légèreté de mon esprit. La méthode Feldenkrais m’apprend à être plus à l’écoute de mon corps et ses besoins, et de respecter mes possibilités du moment présent, tout en lui faisant prendre conscience qu’il peut agir différemment pour son bien-être. J’aime beaucoup explorer au quotidien différentes positions avec mon corps, et toutes les variations créatives de mouvements proposées à travers le Feldenkrais ouvre un champs du possible extraordinaire. Le professionnalisme, la bonne humeur et la bienveillance de Claire me donnent envie d’en apprendre toujours plus" Saïma
Yvon à travers cet enseignement :
"J’ai appris à me calmer, à me relaxer et à mieux ordonner de nombreux mouvements dans la douceur vis à vis de mon corps.
Sur le plan de la vie quotidienne j’ai constaté un assouplissement des articulations qui « répondent » mieux lorsqu’elles sont sollicitées.
Je souhaite que le contenu des séances reste aussi varié, aussi diversifié donc aussi intéressant."
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Maryvonne C. suite à une intervention chirurgicale :
"Claire, grâce à ton enseignement j'ai attrapé la méthode Feldenkrais comme une bouée une fois de plus.
Après une anesthésie générale avec intubation vendredi je me suis retrouvée percluse de douleurs thoraciques le samedi matin !!!!! J'ai aussitôt pratiqué en douceur quelques exercices (gonfler les ballons et rotations d'épaules). Dimanche cela s'arrangeait un peu quoique chaque toux ou éternuement était fort douloureux.
Lundi plus de douleur pendant les quintes et éternuements, juste des côtes douloureuses au toucher, et ça s'estompe.
En 48h j'ai retrouvé la souplesse de la cage thoracique et sa mobilité.
Bien sûr je continue à pratiquer matin et soir ! Mais quel soulagement ! Je n'ai pas utilisé de doliprane et mon estomac m'en est très reconnaissant !
Quelle chance j'ai de bénéficier de tes cours ! Grand MERCI Claire !"
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Annie a subi une intervention médicale lourde et a été confrontée à plusieurs deuils :
"Il fallait chercher sur quoi je pouvais agir, en quoi mon énergie, enfin celle qui me restait, pouvait être efficace. La mort ? Non ! Il faut accepter… La maladie ? Oui ! Donc je me suis toujours positionnée dans le « et après l’intervention, docteur ? ». Après l’intervention, j’ai vite compris que je pouvais faire des gestes difficiles sans douleur excessive si je prenais le temps de réfléchir à leur exécution avec, comme unique but celui de chercher ce qui était « le meilleur chemin pour moi. » Et ça marche ! Dès le lendemain de cette lourde opération j’étais en mesure de mettre cette belle idée en œuvre. Jour après jour j’ai pu me fixer des buts réalisables et comme le physique « fonctionnait » le mental a suivi. Trois jours d’hospitalisation. Retour à la conduite de ma voiture deux jours après ma sortie… Ce qui est important c’est plus la force que j’ai pu puiser dans chaque réussite sans souffrance que la réalisation elle-même de la chose tentée…"
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Luigi :
"Il y a plus de quinze ans, j’assistais à ma première séance de Feldenkrais. Je commençais ma vie de retraité. Quinze années plus tard, c’est-à-dire aujourd’hui, je devrais être un « vieux schnok » bloqué par un tas de douleurs… et il n’en est rien. Je dirais même que c’est tout le contraire. En effet, grâce au Feldenkrais et à l’enseignement de Claire Berthelin, j’ai pris conscience de mon corps, j’ai appris à écouter ce qu’il me dit. Auparavant, à la moindre de ses plaintes, je m’arrangeais pour qu’il se taise en faisant, éventuellement, appel à quelques cachets tranquillisants. Je tiens désormais compte de ses plaintes et de ses joies. Résultats : adieu les fréquentes lombalgies qui me pourrissaient la vie, bonjour les sensations nouvelles qui me font découvrir des qualités cachées que je ne lui soupçonnais pas… quand j’étais plus jeune."
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Michèle :
Points positifs :
En station debout, immobile ou en marchant, très nette diminution des tensions dans le haut du dos, particulièrement entre les omoplates. L’idée de la verticalité et la sensation imaginée du sac sur la tête m’aident.
Extension et élongation des orteils surtout le matin si je ressens des crampes dans les mollets.
Respiration : je commence à ressentir le volume de la cage thoracique et la présence du dos.
Spirale et manière de s’accroupir pour se baisser et se relever me sont très utiles.
Impression d’être plus souple dans les mouvement de torsion (hanches, épaules).
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Gérard :
"Au fur et à mesure de cette année, je pense et vérifie que des notions comme « enraciné sur la terre et dans le ciel », « la proposition de pratiquer l’un ou l’autre exercice chez soi », « le port de notre belle parure » font véritablement leur chemin dans mon comportement journalier.
Merci pour la rigueur de la méthode, la qualité de la formation, l’ambiance de calme et de sérénité."
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Eliane :
"Venue par hasard, sans visée précise, je suis fidèle depuis plus de trois ans à la gymnastique douce telle que vous l’enseignez, selon la méthode Feldenkrais, parce que j’en ressens tous les bienfaits et du plaisir aussi ce dont je vous remercie bien sincèrement. Sans effort particulier, j’y ai appris beaucoup sur les répercussions ou les concordances qu’un simple mouvement parfois inhabituel le plus souvent symétrique ou contraire à un autre peut avoir sur la respiration ou l’ensemble du corps, trop souvent soumis aux gestes quotidiens faciles et répétitifs. Ainsi cette méthode que j’essaie d’appliquer grâce à vous, outre qu’elle m’a fait prendre une plus grande conscience que je peux mieux respirer, me tenir, moins souffrir parfois, en un mot me libérer de certaines contraintes, à en même temps réveillé en moi comme un souffle créatif des plus bénéfiques."
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Anne F. :
"Une vieille amie, perdue au temps de l'arthrite et retrouvée à celui de l'arthrose, me signale un jour que justement à Ivry, pas loin de chez moi, une Claire très sympa, etc, etc. Le lendemain un de mes frères me raconte que son toubib venait de lui recommander une gym pas comme les autres, Feldenkrais, etc. Le surlendemain quelques prospectus dans l'entrée de l'ostéopathe : « Mouvement et Créativité » ! C'était l'appel du destin, alors moi, j'ai appelé Claire !
En groupe mais sans compétition, l'effort douloureux banni mais pas la lenteur. A chacun son rythme… Ce dont je rêvais pour mes élèves quand j'étais enseignante mais impossible d'échapper aux notes.
Découvrir que la vieille carcasse, sujet de plaintes, est une belle œuvre d'art : quand Claire compare nos côtes à une parure de colliers, on se sent déjà un port de reine.
Apprendre sur quoi – et sur qui – on peut s'appuyer, le plus important peut-être !
Et puis à 70 ans s'entraîner à faire « les yeux doux », ça promet un bel avenir, non ?
PS : J'ai du mal à retenir les mouvements et je suis loin de m'exercer tous les jours, mais l'enthousiasme est là et m'a certainement aidée à traverser une année riche en pépins."
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Cynthia :
"J'ai été hospitalisée une semaine pour une ablation de la vésicule biliaire. Je n'imaginais pas le désarroi que l'on peut ressentir quand on se réveille de l'anesthésie générale. En plus de la douleur post-opératoire, la position allongée et l'affaiblissement général génèrent un corps douloureux dans son ensemble. Mauvaise circulation, crampes, impatiences dans les jambes, écrasement du bassin, fesses et coccyx, des omoplates et cervicales, douleur aux lombaires, faiblesse générale lorsqu'on est soumis à une diète sévère, léthargie des intestins, accumulation des gaz, difficultés à se mouvoir, un vrai cauchemar pour une personne habituée à se bouger…
Cependant j'avais un atout majeur que j'ai tout de suite mis en pratique. Suivant des cours et ateliers de la méthode Feldenkrais depuis une douzaine d'années suite à des problèmes de sciatique chronique et de genou (qui ont disparu), je continue pour entretenir la souplesse des articulations, l'harmonie des mouvements et le plaisir de la découverte.
Le Feldenkrais, qui a l'avantage de s'adapter à l'état physique de la personne, m'a aidé à supporter dès les premiers jours les problèmes post-opératoires grâce à des exercices faciles, à peine esquissés au départ, en économisant mon énergie. Au fil des jours, mes mouvements ont pris plus d'ampleur sans jamais devenir contre nature ni fatigants.
Déjà convaincue des bienfaits de la méthode, j'ai pu constater un effet bénéfique sur mon moral et mon état physique sans me sentir bousculée ni culpabilisée tout en accélérant mon retour à l'autonomie. J'ai ouï dire que certaines mutuelles la prennent en charge. Personnellement, je serai pour un remboursement par la sécurité sociale, tant ses capacités de prévention de la douleur, d'amélioration post-opératoire ou simplement d'entretien du corps et de l'esprit dans leur globalité sont grandes.
Au fil des années, j'ai côtoyé de nombreuses personnes qui en ont retiré tous les bénéfices : récupération après des opérations de cancer ou des accidents, soulagement pour les personnes à mobilité réduite, lombalgies, coup du lapin, grincements de dents, arthrose, névralgies, stress, angoisses, mais aussi souplesse générale, travail sur les yeux, la voix, la respiration, l'équilibre, les appuis, meilleure compréhension du corps, entretien hebdomadaire – et pourquoi pas journalier - pour les personnes dont l'âge va de 20 à 90 ans, sans oublier l'accueil dans un petit groupe où l'on peut échanger ses impressions et rire sans arrière-pensées, accompagné en douceur par une praticienne à l'écoute."
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Monique :
"Je voudrais témoigner du bienfait que m'apporte la Méthode Feldenkrais.
Au bout du deuxième cours déjà, j'ai dormi toute la nuit. Ensuite , souffrant comme beaucoup, d'arthrose cervicale et lombaire, je me bloquais fréquemment or depuis 10 ans cela ne m'est plus arrivé. Je ne dis pas que le Feldenkrais m'a guérie, mais grâce à une meilleure connaissance intérieure de moi-même j'ai adapté mes efforts, me servant de tous les muscles pouvant aider les parties douloureuses. Exemple : j'ai soutenu des poutres au plafond pour aider mon mari, je retourne mon jardin et fais différents bricolages. Point important également, faisant d'assez longs voyages en voiture, j'ai appris à faire quelques mouvements simples qui me permettent de ne pas souffrir. Enfin, ces quelques années m'ont permis de retrouver un certain équilibre psychologique.
Tout cela explique ma passion à défendre, quand je le peux, cette méthode : Bouger son corps et libérer sa tête."
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Béatrice :
Qu'avez-vous découvert à travers cet enseignement ?
"J'ai découvert comment apprendre à devenir beaucoup plus à l'écoute de mon corps, à le respecter en tenant davantage compte de ses manifestations, de ses réactions. C'est à la fois être davantage à l'écoute et favoriser de ce fait l'expression, libérer les manifestations.
J'ai redécouvert et me suis sentie comme légitimée dans mon besoin de douceur infinie, quand l'expression a été nommée concernant le regard. Elle a résonné en moi, à de multiples niveaux : besoin de douceur de la part des autres, mais besoin d'en donner, d'en transmettre moi-même aussi bien vers les autres que vers moi-même, en premier lieu, en tout cas plus en dernier lieu…
Ce travail sur le corps vient accompagner un travail sur l'émotionnel, l'intellectuel, le psychologique que j'entreprends depuis quelques temps et me fait me tourner vers des approches plus globales où le corps et l'esprit sont intimement liés et aussi essentiels l'un que l'autre pour trouver un meilleur équilibre. J'apprends à découvrir que mon corps peut et doit même entrer en résonnance avec mes émotions et à lui donner à lui aussi la parole, comme j'ai réapprise celle de l'intellect par la psychothérapie. Je découvre les énergies qui circulent en moi et j'apprends à les mobiliser, à les percevoir, à les encourager si j'ose dire. Réussir à réduire la réflexion pour tendre vers la méditation, le lâcher prise. Cette prise de conscience de soi, de son corps est une perpétuelle découverte pour moi actuellement qui me donne envie de poursuivre, d'aller plus loin, de progresser."
Quelles améliorations avez-vous constatées dans votre vie quotidienne ?
"Une conscience croissante de mon corps quand je ne suis pas concentrée sur une activité qui occupe mon esprit : quand je marche dans la rue, quand j'attends le métro, quand je suis seule. Je ne fais pas beaucoup d'exercices en tant que tels mais je fais attention à beaucoup plus de choses. Je sais n'avoir pas trop besoin de me soucier de ma mâchoire mais j'apprends à penser à adoucir mon regard, à sentir les mouvements de mon bassin quand je marche, à reproduire aisément le cercle, dans un sens, dans l'autre, à sentir que « j'habite » mon bassin, que les énergies y circulent, tant que je reste concentrée dessus en tout cas. Je sens que j'engramme, que j'apprends à mon corps à « être habité » si j'ose dire : je m'incarne en quelque sorte en prenant comme possession de mon corps."